La mort parcourt les couloirs de Brueghel et emporte les âmes. Elle excite les appétits, les colères, les frustrations, les soifs de pouvoir, et monte les hommes enfermés les uns contre les autres jusqu’à l’éruption de sang. Parce qu’il n’y a que le sang pour laver le sang, pour cacher le sang, puis un autre sang pour laver le sang encore… Ici, chacun le pressent et prie pour que ce soit celui d’un autre plutôt que le sien quand la mécanique est lancée, et la fin inexorable.