Quand je suis arrivé à Naples, j'ai longtemps gardé la dégaine d'un type paumé pour qui le bonheur se bornait à pouvoir se laver à l'eau douce et manger avec une fourchette et un couteau. J'avais l'air d'un homme rongé depuis des années par une étrange maladie et qui récupère très lentement, jour après jour...