Si le capitalisme se farde d'un tantinet de vert pour les belles occasions, lors des grands "sommets climatiques" aux conclusions inachevées, sa coquetterie s'arrête là. Une fois quitté l'univers des apparences qui ne coûtent rien, les livres de comptabilité se chargent de ranger la pollution dans la catégorie "gains" et sûrement pas dans celle des "coûts" - oui, la classe des riches sait faire de l'argent sur ce terrain-là aussi.