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Critiques de Olivier Challet (11)
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Série éliminatoire

Un auteur Français, un livre qui se déroule à Montréal. Ce même livre prêté par une amie Québécoise à une Française.

La boucle est bouclée, reste plus qu'à le lire.



On plonge directement dans l'histoire.

Début d'année, Jack Barral est appelé sur le meurtre d'un collègue mort étranglé dans un parc. Le dessin d'un papillon bleu dans son portefeuille.

Rapport avec le meurtre ou dessin d'enfant ?

Ce flic n'a jamais évolué dans sa carrière.

Ne semble pas avoir d'amis.

Pas apprécié de ses collègues.

Un compte en banque bien rempli.



L'auteur alterne parfois certains chapitres avec une jeune femme qui élève seule son enfant.

Qui est-ce ? Et qu'elle importance elle a dans l'histoire ?

Il va falloir attendre trois quart du roman pour commencer à voir un lien.

On ne peut pas mener l'enquête avec Barral, on prend au fur et à mesure. Pas de suspects possible.



Je ne me suis pas attachée à l'équipe d'enquêteurs.

La lecture est agréable mais rien d'inoubliable non plus.

J'ai toutefois pu retenir quelques expressions ou mots de là-bas.

Allez mes "Chum" ^^, à votre tour de découvrir Barral et sa clique.
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Max au centre Bell

« Un polar sympathique, à la parfaite hauteur du public visé. Les jeunes amateurs de sport s'identifieront sans peine à ce narrateur qui livre, au gré de ses aventures, les peurs, réflexions et préoccupations qui émaillent son quotidien, qu'elles concernent sa famille, ses copains de classe ou encore ses relations avec les filles. Une lecture divertissante dont le texte, abondamment dialogué, est ponctué de quelques vignettes stylisées de Rémy Simard. » (catalogue Nelligan, RÉSEAU DES BIBLIOTHÈQUES DE MONTRÉAL, 2010)



«Aventures et enquêtes ! (…) Assister à un match de hockey, Montréal contre Toronto, au centre Bell, dans une loge. Y a-t-il plus grand bonheur pour un jeune garçon de 10 ans ? Max est fou de joie, mais lorsqu’il se retrouve seul au Centre Bell et qu’il découvre la présence de trafiquants, rien ne va plus.(Louise Chevrier, La Terre de chez nous, juillet 2010)



« Max au Centre Bell est le premier tome d'une nouvelle série policière chez Boréal Junior. Le personnage central de Max a une personnalité fort attachante. » (Le signet des enfants, mai 2010)



« Dans ce petit polar rondement mené, Olivier Challet entraîne son jeune héros dans une confrontation résolument musclée. » (Chloé Varin, cahier Lecture, Le journal de Montréal, 1er mai 2010)

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Série éliminatoire

Une nouvelle étoile scintille au firmament des enquêteurs dans les littératures du crime au Québec en la personne du lieutenant-détective Jack Barral du Service de police de la ville de Montréal (SPVM). Entouré d'une équipe chevronnée aux personnalités toutes aussi crédibles les unes que les autres.



Série éliminatoire s'ajoute à la série de polars du nord publiés au Québec au cours des dernières années. Bien que la couverture de première laisse présager que ce roman policier a pour cadre le milieu du sport professionnel, sachez que ce n'est pas le cas. Par contre, le hockey amateur, les ligues de garage, que suggère la photo de Benjamin Zanatta constitue le lien entre la série de meurtres, d'éliminations, à laquelle sont confrontés divers corps policiers de Montréal, de Québec, de Gaspé et de Saguenay.



Olivier Challet, ingénieur de formation, originaire de Vendée dans l'ouest de la France y traduit les réalités géographiques, sociales et politiques québécoises assimilées depuis son arrivée en 1994. Son personnage principal mène une enquête méthodique lancée, dès les premières pages, à partir d'un appel de son commandant :



« Barral, ici Dubreuil. Désolé de vous déranger un 1er janvier, mais vous allez devoir rappliquer d'urgence. Un collègue du poste 26 vient de se faire tuer. Rappelez-nous au plus vite. »



Dans un espace-temps de 13 jours, à Montréal, Laval, Coaticook, Québec, Gaspé, Rivière-au-Renard, Saguenay, dans le parc national des Monts-Valin et en Outaouais, l'auteur nous entraîne progressivement vers la quête de la vérité. Pas à pas, à un rythme qui prend progressivement son élan au gré des assassinats, s'accélérant avec le cumul des éléments découlant des multiples hypothèses soulevées qui s'affinent presque d'heure en heure. Pour atteindre son paroxysme en finale avec le dévoilement des motifs du meurtrier. Comme dans une enquête réelle sur le terrain.



Le tout de manière très procédurale, un peu à la manière de Harry Bosch de Michael Connelly, permettant au lecteur de s'imprégner de chaque scène de crime, de s'initier aux techniques méticuleuses d'enquête ponctuées de relations parfois tendues avec les médias et celles de l'identité judiciaire. Sans oublier diverses sources d'information permettant de retrouver certains individus : bureau d'enregistrement du Registre foncier du Québec, hôtel de ville, bureau d'Accès Montréal, Société d'assurance automobile du Québec (SAAQ), cas non résolus (cold cases). Et ce dans les moindres détails.



Le style et la qualité d'écriture d'Olivier Challet nous offrent des descriptions hivernales des plus réalistes :



« Soudain, ils aperçurent Gaspé, au loin. La ville à flanc de colline brillait de ses lumières éparpillées. À ses pieds, la glace avait emprisonné la baie, immobilisant le trafic maritime pour la saison hivernale. Tout était figé. Barral eut un frisson. Jamais il n'avait éprouvé une sensation de froid aussi intense. »



« Les sapins aux lourdes branches enneigées ressemblaient à des fantômes sous la lumière des phares. »



« Il n'y avait plus personne le long du quai. On entendait les vagues se briser sur la glace, de l'autre côté de la digue, à une dizaine de mètres. Les énormes projecteurs dispensaient une lumière criarde sur le port, générant des ombres fantasques sur les bâtiments de l'usine et les hangars. le vent soufflait par bourrasques, s'engouffrant dans les moindres corridors et filant sur la surface glacée des quais. Pas question de sortir le moindre bateau l'hiver. »



« Les trois enquêteurs firent le tour de l'usine au ralenti, comme si le froid environnant les freinait dans leur progression. »



Certains passages m'ont fait sourire



« – L'appartement est vide, y a rien, poursuivit Gervais.

– Même pas une bibliothèque ? En général, tout le monde en a une, avec au moins quatre planches et quelques livres, non ? »



« le lendemain, un peu avant neuf heures, Barral entra dans la salle réservée pour les vidéoconférences. Il mit en marche les divers appareils, grâce au mode d'emploi rédigé spécialement pour les profanes comme lui. Puis il s'assit et attendit que la communication s'établisse. »



« – [...] Aucune voiture ne passe dans cette ruelle. Et après minuit, en plein hiver, il n'y a plus grand monde dehors. On est à Québec, pas à Montréal !

Barral ne fit aucune réflexion sur le sujet, il n'avait pas envie de se lancer dans une polémique de ce genre. »



« Il faisait chaud dans la pièce, malgré la grandeur des lieux. La facture d'électricité devait être salée. »



« Peu après dix heures, il se prépara du café. Il mit cinq bonnes minutes à comprendre le fonctionnement de la cafetière, renversant au passage de l'eau sur le meuble. »



J'aime bien quand l'action d'un polar montréalais se déplace à Québec, dans ma ville d'origine. Ici dans le quartier Montcalm, entre autres sur l'avenue Cartier (non pas la « rue » Cartier), au Café Kriegroff que je connais bien. Olivier Challet y décrit parfaitement en quelques mots l'ambiance qui y règne :



« Les cinq policiers s'installèrent dans une pièce à l'écart. le café était agréable, bien qu'exigu. Un brouhaha incessant provenait de la salle principale et des cuisines, ce qui était parfait pour couvrir la discussion qu'ils s'apprêtaient à avoir. »



Comme c'est souvent le cas, Série éliminatoire qui repose sur un scénario solide est ponctué d'insertions de segments complémentaires au récit principal accumulant peu à peu des bribes d'informations sur le criminel recherché.



De nombreuses références au hockey permettent à la fois d'ajouter des éléments d'information sur les victimes et sur l'assassin (« très tôt au hockey, un peu contre son gré », admirateurs des Canadiens, assistances à différents matchs au Centre Bell, le hockey comme source d'énergie, photo des joueurs d'une ligue de garage...). À noter le chapitre 19 décrivant le déroulement d'un match Montréal-Ottawa au Centre Bell, prétexte à une rencontre stratégique entre Jack Barral et le caïd de Dorval, les billets offerts par ce dernier. Et le chapitre 25 sur les caractéristiques et le fonctionnement des ligues de garage organisées et pas organisées.



Le héros d'Olivier Challet est un peu à l'image d'autres policiers imaginés par un grand nombre d'auteur.es de polars avec son rythme de vie et les problèmes familiaux découlant de son emploi du temps : la santé fragile de sa mère, ses promesses non tenues avec son ex-femme et sa fille. Et hanté par son passé :



« Tout ça ramenait inconsciemment Barral à sa propre histoire, à la disparition soudaine de son père il y avait plus de trente ans, ce qui le rendit maussade. Son père les avait-il abandonnés de la même façon, lui et sa mère, avec le même détachement et la même légèreté ? »



« L'espace d'un instant, Barral revit son père sortant de l'incinérateur des Carrières, ses habits imprégnés des mêmes odeurs âcres et toxiques qu'il rapportait à la maison. Il dut se secouer pour ne pas y penser et revenir à la réalité. »



« Barral avait des frissons. Jamais la nature ne lui avait paru aussi oppressante et inquiétante. Sans raison, il se mit à penser à son père. Son père ruisselant de sueur, travaillant comme un forcené à l'intérieur du grand incinérateur, qui avait disparu sans laisser de traces. Et lui, trente-quatre ans plus tard, transis de froid et de peur, disparaissant dans l'obscurité à la recherche d'un tueur implacable. »



Série éliminatoire est un tourne-page qui m'a accroché dès le départ. Il met en scène des personnages prometteurs annonçant peut-être une suite dans laquelle on en apprendra davantage sur l'univers de Jack Barral. Ce qui ne serait pas surprenant étant donné que Olivier Challet publie depuis plus de 10 ans une suite de romans policiers destinés aux jeunes mettant en vedette un dénommé Max, « un garçon âgé de dix ans, lunettes rondes et cheveux frisés, curieux, perspicace et sensible, qui sous ses airs peu téméraires parvient toutefois à démêler les intrigues les plus surprenantes ».



Une récidive avec Jack Barral et son équipe dans la littérature pour adulte est donc espérée.



En conclusion, j'ai aussi noté quelques descriptions savoureuses :



« Ils s'éclipsèrent en silence, sur la pointe des pieds. Seules les traces grisâtres sur le sol attestaient leur passage, contrastant avec le faste clinquant de la maison. »



« Pour commencer, l'humeur massacrante de Dubreuil à la suite de l'article de Gagné se propagea dans l'édifice à la vitesse de l'éclair, comme un sale rhume qui contamine une classe en une seule matinée. »



« Un homme ayant dépassé la soixantaine lisait son journal, assis derrière son bureau. Cheveux grisonnants, petites lunettes foncées, veste grise, il avait l'air d'un vieil apothicaire. »



Merci aux éditions du Boréal pour le service de presse.





Originalité/Choix du sujet : *****



Qualité littéraire : *****



Intrigue : *****



Psychologie des personnages : *****



Intérêt/Émotion ressentie : *****



Appréciation générale : *****


Lien : https://avisdelecturepolarsr..
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Opération bifteck

Un très bon roman policier pour les 7-8 ans !



De l'humour, de l'esprit, de l'action, du suspens...et beaucoup de chiens!
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Woof contre Dr Noss

« Voici une nouvelle série de romans policiers qui s’adresse à un jeune public et met en vedette des protagonistes canins. Plusieurs races de chiens sont représentées, et leurs particularités sont exploitées. Le basset hound au flair aiguisé est le détective, le pitbull est la terreur du voisinage… Avant le début du roman, ils sont d’ailleurs présentés avec quelques traits de leur caractère. De plus, une carte du quartier de Pitville suit leur présentation afin que le lecteur puisse se repérer dans la ville. La narration au rythme soutenu, l’enquête bien menée, les personnages attachants, ainsi que l’humour contenu dans le récit caractérisent l’écriture d’Olivier Challet. La mise en pages propose une typographie d’une belle grosseur pour l’âge du lectorat et est agrémentée de quelques illustrations. » - Revue littéraire LURELU, automne-hiver 2012



La série Woof! Et Woof contre Dr Noss : « Une intrigue qui, quoique très classique, n'en est pas moins fort sympathique et permet aux jeunes lecteurs de se familiariser avec les différentes étapes d'une enquête, depuis la collecte d'indices sur le terrain jusqu'aux interrogatoires. Le récit se clôt ici dans l'harmonie en rappelant qu'il ne faut pas toujours se fier aux apparences et que la violence n'a jamais été un moyen acceptable de se faire entendre. Les bergers allemands, las de payer pour les erreurs de leurs ancêtres, avaient en effet décidé de kidnapper des innocents afin qu'on leur permettre de réintégrer le conseil de la ville, au sein duquel ils étaient la seule race à ne pas être représentée. Des lavis rehaussés de dynamiques traits de plume, de même que des os et des empreintes de pattes sont intégrés au texte aéré et rédigé en larges caractères. » - Catalogue Nelligan, Réseau des bibliothèques de Montréal, 2012
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Bardin Retourne Au Lycée

« Premier roman de ce Montréalais d'adoption. Fin de semaine tragique au lycée Saint-Vincent: deux élèves sont trouvés morts dans des circonstances étranges. L'inspecteur Bardin, chargé de l'enquête, devra faire vite, la panique commençant à s'installer. » - Catalogue Nelligan, Réseau des bibliothèques de Montréal
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Max et la filature

« Un petit polar narré par le sympathique Sherlock Holmes en herbe qui livre, au gré de ses aventures, quelques réflexions et préoccupations émaillant son quotidien. L'enquête, ponctuée de quelques invraisemblances, est l'occasion de sensibiliser les jeunes lecteurs aux dangers réels qu'encourent les cobayes qui acceptent de participer à des expériences médicales rémunérées au cours de laquelle la bien-aimée du sans-abri a perdu la vie. Le texte, abondamment dialogué, est ponctué de quelques vignettes stylisées de Rémy Simard. » (Catalogue Nelligan, RÉSEAU DES BIBLIOTHÈQUES DE MONTRÉAL, 2011)



« Pour combler les enquêteurs dans l’âme! » (Ève Christian, Chronique Livres jeunesse, Estrie Express, 5 avril 2011)



« Ce polar d’une lecture facile aborde un sujet toujours actuel : la traite des êtres humains. (…) le style est bien adapté aux jeunes lecteurs; le récit est bien mené et cohérent. Les réactions de Max, ses relations avec ses amis, sont assez universelles et cadrent avec la réalité contemporaine. C’est un enfant plutôt raisonnable, avec des parents discrets mais attentifs. Le lien avec son grand frère qu’il admire, mais qui lui accorde peu d’attention, est intéressant et bien décrit. (…) Max s’avère un personnage attachant et l’on attend ses prochaines aventures. » (M. de Repentigny, revue littéraire LURELU, printemps-été 2011)



- La série Max : « Une série policière aux personnages attachants. » (Familles d’aujourd’hui.com, novembre 2011)
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Bons baisers de Pitou

« On trouve peu de polars destinés aux premiers lecteurs. Ainsi, cette nouvelle série devrait être bien accueillie. Présentant une écriture fluide, mettant en scène une sympathique enquête qui avance tranquillement, le roman offre surtout un humour discret mais bien présent. Par ailleurs, comme tous les personnages (…) sont des chiens, on y retrouve un langage « canin » (…) qui rend l’univers des chiens tout à fait limpide. Tous ces petits détails linguistiques renforcent la trame romanesque en y apportant plus de cohérence et d’unicité. Enfin, plusieurs races canines sont nommées, ce qui plaira aux amateurs de chiens. »



Revue littéraire LURELU, printemps-été 2013
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Max et Freddy la terreur

« Un petit polar de lecture facile, narré dans un style simple par le jeune Sherlock Holmes en herbe. Cette nouvelle enquête est l'occasion de sensibiliser les jeunes lecteurs à l'intimidation et au taxage, des actes criminels qu'ils sont invités à dénoncer en fin d'ouvrage. Les mécanismes en sont d'ailleurs décrits avec réalisme au fil de la trame, qui voit les deux jeunes garçons tomber dans un engrenage infernal, alors qu'ils n'osent pas dénoncer leur bourreau par peur des représailles. Ce n'est que lorsque Freddy lui entaille le bras avec un couteau pour le punir de ne pas lui avoir apporté l'appareil photo qu'il avait commandé que le protagoniste consent enfin à s'ouvrir à ses parents, ce qui lui vaut d'être qualifié de héros par les autorités, qui insistent sur l'importance de briser la loi du silence. » - Catalogue Nelligan, Réseau des bibliothèques de Montréal, 2013



« Max est de retour dans une 4e aventure tumultueuse où il est question d’intimation et de taxage. (…) Perte de concentration, agressivité, baisse des résultats scolaires et amitié fragilisée sont quelques conséquences négatives de l’intimidation que l’auteur a choisi d’exprimer. L e jeune lecteur ressentira la peur et l’angoisse des personnages à chaque rencontre avec Freddy. Les propos de cette brute sont menaçants et reflètent très bien la réalité. La fin est prévisible, mais s’avère celle que l’on souhaite et qui nous rassure : un enfant courageux de confier ce qu’il vit, des parents compréhensifs et une direction d’école collaboratrice, la clé pour contrer ce phénomène. Voilà un autre roman qui se donne comme mission d’inciter les jeunes victimes de ce fléan à en parler, malgré la crainte de représailles. » - Revue littéraire Lurelu, printemps-été 2013



« Un très bon roman policier dans lequel l’auteur nous expose des situations fréquemment vécues par les élèves dans certaines écoles : intimidation, drogue, etc. » - Commission scolaire de Kamouraska, février 2013

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Max et le sans-abri

« La force du récit provient du fait qu'il met en jeu l’imagination, les émotions et la réflexion d'un héros attachant dont les premières qualités, les défauts et les réactions s'apparentent au profil du lectorat visé.»

Carole Filion - Revue littéraire Lurelu



" Un petit polar narré par le sympathique Sherlock Holmes en herbe qui livre, au gré de ses aventures, quelques réflexions et préoccupations émaillant son quotidien. L'enquête, ponctuée de quelques invraisemblances, est l'occasion de sensibiliser les jeunes lecteurs aux dangers réels qu'encourent les cobayes qui acceptent de participer à des expériences médicales rémunérées au cours de laquelle la bien-aimée du sans-abri a perdu la vie. Le texte, abondamment dialogué, est ponctué de quelques vignettes stylisées de Rémy Simard. » Catalogue Nelligan, Réseau des bibliothèques de Montréal
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Série éliminatoire

Le roman "Série éliminatoire" est l’illustration parfaite de ce que l’on entend par « intrigue policière ». Il ne nous tient pas en haleine en raison de rebondissements spectaculaires ; on ne peut pour autant le lâcher tant on veut comprendre de quoi il en retourne !
Lien : https://www.journaldequebec...
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