Il se pencha sur elle et, avant qu’elle ait pu réagir, l’embrassa rapidement sur la joue.
— Bonne nuit. Tu es une fille formidable, Dareen.
Elle le regarda partir, les mains crispées sur son arbalète. Lorsqu’il disparut enfin au détour d’une rue, elle leva la main pour effleurer sa joue, là où il l’avait embrassée.
— Oui, je suis une fille formidable. Et c’est Bishia que tu aimes, marmonna-t-elle. Moi, j’ai une arbalète. Elle, elle a un beau cul.