- En fait votre nature, par essence dépressive, a trouvé un point central de fixation - la destruction de la planète - et ne parvient plus à retrouver l’équilibre. Votre mal-être est l’illustration parfaite de ce que la chercheuse belgo-canadienne, Véronique Lapaige, a dénommé l’éco-anxiété ou anxiété climatique. La psychiatre américaine Lise van Susteren a aussi très bien défini ce stress permanent, avec des pensées intrusives et obsessionnelles, pour les gens qui, comme vous, sont convaincus de l’imminence d’une grande catastrophe écologique.