Un braconnier pouvait plus facilement tirer sur un ours anonyme, dans les années 1970 et 80, qu'abattre des animaux surnommés Camille, Chocolat, Canelle ou Pyren. Le choix de ces prénoms, par des écoliers de la vallée d'Aspe, devait permettre de lier la jeune génération à l'avenir des plantigrades.