- [...] Et je crois qu'il n'y a pas de fatalité, qu'on peut décider de sa vie....
- Tu vis dans un pays en paix !, le coupa-t-elle en bégayant ( ses mots fusent comme des balles ; mais au moment de franchir ses lèvres, ils butent sur tout ce qu'elle ne peut pas lui dire). Et tu trouves ça normal ! La liberté aussi, tu trouves ça normal. Et la mort, pour toi, pour tout le monde ici, c'est injuste. Mais ailleurs dans le monde, c'est la mort qui est normale. Et la vie, c'est un accident !