Et retour jusqu'à luh. Le moulin endormi éclairait. Les chouettes et les hiboux proclamaient que cette nuit appartient aux oiseaux et aux animaux. La rivière brillait, la lune s'y lavait la face, l'herbe me claquait les mollets. Et c'est là que je pris conscience à quel point c'était beau d'être seul avec la nuit. Et le souvenir m'en est resté à jamais.