"..vous pouvez le constater vous-même, nous n’avons pas de télévision. Comme ma pauvre sœur avait l’habitude de dire : de nos jours, il y a beaucoup d’horreur dans ce monde, beaucoup de haine, mais au moins nous ne sommes pas obligées de les introduire dans notre salon. À quatre-vingt-cinq ans, ma chère, on a le droit de rejeter ce qu’on trouve désagréable"...