Jusqu'aux récents événements, j'aurais dit qu'il était un anglican conformiste.
Je crois qu'il voyait les rites de sa religion comme un rappel des valeurs fondamentales,
une affirmation de son identité,
un bref instant pendant lequel il pouvait réfléchir en paix.
Comme la plupart des aristocrates anglicans,
il aurait trouvé l'incarnation plus compréhensible si Dieu avait choisi de visiter sa Création
sous la forme d'un gentilhomme anglais du XVIIIe siècle.
Et, comme la plupart des membres de sa classe,
il a résolu ce petit problème en remodelant Son image
et en Le transformant plus ou moins en ledit gentilhomme.