Je suis en bonne santé, j'ai un travail qui me plaît, de quoi manger,
vivre confortablement et m'offrir à l'occasion le superflu qui peut me tenter.
Sans compter ma poésie.
Si l'on considère la situation des trois quarts de l'humanité,
me prétendre malheureux serait d'une complaisance perverse,
vous ne croyez pas ?