... Je recommence à penser que ces îles aussi disparaîtront : elles s'enfonceront comme tant d'autres dans les mers et dans les océans, pourtant bien avant, et de manière très différente de ce que j'ai pu imaginer jusqu'alors. Je me figurais une sorte de mort naturelles sous l'effet des courants et des marées, de l'antiquité des pierres, ou des explosions volcaniques : quelque chose de grandioses, d'effroyable, de solennel. Au lieu de cela, pire que tout ce que j'ai pu penser en comparant avec les siècles passés, il y aura les miasmes et les décompositions (...) la désintégration et l'horreur, pour recouvrir ou accompagner cette disparition Comme pour chacun d'entre nous, du reste, pour tous les êtres. Nous verrons bien, nous saurons bientôt comment cela finira.