Au cours de ce mois d'août, Bern examine le moindre repli de mon corps, d'abord avec ses doigts, puis avec sa langue. À certains moments, j’étais tellement gênée et épuisée par l'excitation que je ne savais plus où se trouvaient sa tête, sa bouche, ses mains. La première fois, j'empoignais son sexe et le guidai entre mes jambes car il semblait paralysé de peur. Je n'étais jamais sortie avec un garçon, et en un seul été il me prit tout ce qu'il y avait à prendre.