Je n'appartiens à personne,
pas même à celui qui rêve.
Seules me portent les louanges
des Bardes de l'occident.
Peu m'importent leurs combats
pour défendre les terres lointaines ;
seuls me transportent leurs mots,
ceux qui illuminent le ciel,
celui de l'île mystérieuse
du Gwynvyd, Monde céleste
où tous se retrouveront.