Il m'assit sur le sol et disposa ma tête entre mes genoux pour m'éviter de m'évanouir. Ses mains étaient toujours froides, comme celle d'un cadavre. Ce qu'il était, en fait.
- Respire, me dit-il.
J'eus un rire entrecoupé de hoquets de douleur à l'idée d'avoir un mort qui me disait de respirer.
- Mercy ? demanda-t-il, l'air inquiet.
Je fus épargnée de devoir expliquer les raisons de mon hilarité par les portes vers l'extérieur qui s'ouvrirent soudainement dans un grincement de métal.