Bran hocha la tête à l’intention de Charles. Ce dernier regarda les prisonniers et sourit. Asil s’était entraîné devant un miroir à imiter ce sourire. Même si le résultat était tout à fait honorable, il n’avait pas réussi à saisir cette nuance qui disait : « Je préférerais vous déchiqueter en petits morceaux, mais mon père ne m’y autorise pas – pour l’instant. » Asil excellait plutôt dans l’effet : « Je suis fêlé, et vous allez mourir. »
[Nouvelle : Des roses en hiver]