Les drogués s'attaquaient à leurs voisins, s'introduisant dans les maisons où
personne ne risquait de s'étonner de les voir devant la porte en train d'essayer de l'ouvrir. Ils faisaient main basse sur un article qu'ils pouvaient revendre rapidement pour quelques dollars. La moitié du temps, les voisins cambriolés n'appelaient même pas les flics. Ils acceptaient la situation, en désespoir de cause, comme le prix à payer pour leur pauvreté.