Les choses s'aggravèrent bientôt considérablement, car l'alcool s'invitait souvent à la cabane. Notre vie était rythmée par les beuveries interminables de ses occupants et les violences qui les accompagnaient. Certains soirs, les adultes étaient métamorphosés, habités par la haine et par la seule volonté de se battre et de se faire mal... ...Je me souviens des hurlements, de la terreur et du sang, mais personne n'entendait nos cris du fond des bois, personne n'était là pour nous sauver.