Chien, mon frère, ta bonté est vaste comme la forêt, mais le vieux sorcier que tu héberges est guéri de tout : de la vie, et de toutes ces délicatesses qui sont l’ornement dangereux, l’ornement fascinant de la vie (...). L’ivresse m’a quitté, et ses vertiges. Je puis enfin m’asseoir au bord du gouffre des nuages.