L'homme fut traduit en justice devant le seigneur Barde qui, magnanime, prit seulement une phalange sur la main entière que Bourrelaine lui devait.
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«Le rôle d'un primat est de veiller au bien-être de ses sujets. Cet homme est mon sujet et, en agissant ainsi, je veille non seulement à son bien-être, mais également au bien-être de ses concitoyens. Corne-Brune n'a pas besoin d'un autre invalide qui tombera dans la mendicité ou le brigandage lorsqu'il ne pourra plus exercer de métier honnête, faute de main. »