Chère SNCF
l'autre jour je me suis énervée parce que mon TGV Paris-Lille était encore une fois en retard. J'étais tellement énervée que le lendemain j'ai pris ma voiture (tu l'auras deviné je travaille à Paris et j'habite à Lille).
A l'aller j'ai mis quatre heures dont deux passées dans les bouchons. Au retour j'ai fais mieux : cinq heures. Je me suis alors souvenue du retard de 10 minutes qui m'avait mise en colère. Et j'ai pensé qu'il fallait que je te demande pardon.
Je t'aime chère SNCF.