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Citation de Ziliz


Les révolutionnaires voulaient réformer la peine de mort, non pas pour être agréables à la victime mais parce que la décapitation était, elle aussi, appliquée en fonction de la richesse du condamné. Un noble était décapité à l'épée bien aiguisée, les roturiers à la hache, les pauvres perdaient lentement la tête avec une lame émoussée. Le 1er décembre 1789, devant l'Assemblée constituante, le docteur Guillotin, médecin, explique devant les députés, au nom du principe de l'égalité même dans le geste du bourreau : « Le couperet tombe comme la foudre, la tête vole, le sang jaillit, l'homme n'est plus. »
(p. 88)
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