La mère Duic était désolée. C'était une vieille fille d'une soixantaine d'années qui portait barbe et moustache avec une assurance de sapeur. Elle savait tout le mal qu'elle faisait au village mais elle était le seul soutien de sa soeur de soixante-deux ans, une demoiselle aussi solide que les casemates que les Boches avaient laissées le long de la pointe de Kerletu et à peu près aussi futée.