Il chantera le corps, sa vérité
Il accroîtra le cou luisant
Il tirera des airs pour notre plaisir
Du déclin
De la floraison
De la violente comédie
Mais qui le chantera, lui ?
Qui chantera sa félicité ?
L'oeil irréprochable, le sourire radieux
Car, messager de lui-même, il n'est plus
Il a bondi à travers le verre orphique
Pour errer éternellement
En quête de la perfection
ses chevilles bleues tatouées d'étoiles.