Si nous ne faisons plus guère de différence qu'entre l'art lyrique et l'art dramatique, au XIXème siècle on sépare soigneusement les spectacles proposés en catégories bien définies.
On distingue en genres spécifiques l'à-propos, le ballet, la comédie, le drame, le divertissement, la féérie, le grand (genre), le théâtre historique, l'impromptu, le lyrique, le mélodrame, l'opéra et l'opérette, la pièce, le proverbe (dramatique), le prologue, la parodie, les paroles, la revue, la scène, la tragédie, le vaudeville.
Chacun de ces substantifs peut d'ailleurs recevoir un adjectif de qualité ou être décliné en sous-catégorie (la tragi-comédie ...) ...