Certaines victimes se contentaient de hausser les épaules, résignées. D’autres prenaient un avocat, mais finissaient encore plus fauchées, tandis que leur avocat s’en mettait plein les poches. Il n’avait pas l’argent nécessaire pour se défendre. Même si c’était le genre d’affaires pour lesquelles certains acceptaient de se battre gratuitement.