Arlen se mit à lire avidement et se demanda même comment il avait pu s’en passer toute sa vie. Il se plongeait dans les livres pendant des heures d’affilée, ses lèvres remuant doucement au début, puis, bientôt, tournant rapidement les feuillets, ses yeux glissant à toute vitesse sur la page. (P 242)