...De plus, je ne débordais pas moi-même d’affection pour les Américains. Ils n’étaient pas pires que les Russes ou les Français, mais eux ne s’attendaient pas à ce qu’on les aime et se fichaient de ne pas l’être. Contrairement aux Américains : même après avoir lâché deux bombes atomiques sur les Japs, ils voulaient encore être aimés.