Menacer le monde de démissionner, c’est la traduction de cette imprécation : « Retenez-moi où je fais un malheur ! » En français d’un autre âge, une rodomontade. Ah ! s’il fallait prendre au mot tous nos politiques qui, un jour de vague à l’âme, à une heure de détresse, ont lancé ce mot de démission… Lorsqu’il s’agit d’une personnalité de second rang, un simple parlementaire, le peuple ne fait que hausser les épaules.