Les journalistes sont, pour les politiques, des ustensiles à manipuler avec précaution et répugnance : des gens à renifler jusque dans les poubelles et à prononcer des jugements injustes, forcément injustes.
Dès que nous avons tourné les talons, nous faisons les frais de cette haine recuite que nous suscitons. Les pisse-vinaigre, tout ce qui scribouille, c’est nous.