Régulièrement, la femme du Premier ministre se rend à l'ambassade soviétique où elle discute pied à pied avec l'exigeante Mme Agnès Maisky qui réclame toujours plus et ne verrait aucun inconvénient à ce que toutes les usines anglaises ne travaillent que pour soigner son peuple qui se bat dans les neiges de Stalingrad, les pieds parfois juste enveloppés dans du papier journal.