Mais, au sein de l'Ahnenerbe, il existe une section dont toute les recherches et tous les rapports ont été soigneusement détruits. Seule une note manuscrite de Sievers demeure, donnant ordre aux savants de ce département d'étudier la science des cultes anciens et des castes de prêtres, en s'attachant plus particulièrement aux problèmes posés par la puissance génitale et la fécondité.