Rudyard Kipling :
Après la mort de John (son fils) sur le front des Flandres, en 1915, je me sens terriblement coupable. Je m’associe à la Fondation, à Saint-Omer en 1922, de la loge les Bâtisseurs des cités silencieuses…
J’écris une épitaphe pour les soldats disparus : « Si quelqu’un veut savoir pourquoi nous sommes morts – dites-leur : parce que nos pères ont menti. »
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