Je me dis que j’ai cette chance incroyable d’être un naturaliste, c’est-à-dire un humain qui a simplement pris conscience que la beauté du monde a un prix et du privilège qu’il a de s’émerveiller. L’hélicoptère qui était parti revient et, cette fois, se pose sur le sommet plat d’une colline. C’est l’heure pour moi de rejoindre la communauté des humains et de laisser derrière moi les jacassements des oiseaux et leur vie simple pour laquelle, j’ai un respect infini.