Les exigences financières du clergé sont contraignantes : par le droit de "tierçage", les prêtres exigent le tiers de la valeur du patrimoine mobilier de leur paroissien au décès de celui-ci. Bien avant, au moment de ses noces, ils ont perçu le "past nuptial", une assez forte somme, avant de consentir à la célébration de la cérémonie d'union.
("Dans la fidélité de la France")