Tout comme il est mauvais de retirer à l’individu et de confier à la communauté ce que l’entreprise privée et l’industrie peuvent accomplir, c’est également une grande injustice, un mal sérieux et une perturbation de l’ordre convenable pour une organisation supérieure plus large de s’arroger les fonctions qui peuvent être effectuées efficacement par des entités inférieures plus petites.
Il importe donc d’attribuer à chacun ce qui lui revient et de ramener aux exigences du bien commun ou aux normes de la justice sociale la distribution des ressources de ce monde (…)
Une vraie collaboration de tous en vue du bien commun ne s’établira donc que lorsque tous auront l’intime conviction d’être les membres d’une grande famille (…)