Puis l’œil d’Otolep apparut.
C’était une immensité liquide d’un bleu inouï, parfaitement étale. Un monde aquatique cerné de rochers blancs surplombant sa surface de plusieurs dizaines de mètres et de plages de pierre qui glissaient sans un remous dans ses profondeurs. Aucune trace de vie sur ses berges ou en son cœur.
De la pierre et de l’eau.
Du blanc et du bleu.
Au-delà de l’envisageable.