Le ryomja se buvait exclusivement chaud, mais cette recette tenait plus du bon sens que d'une quelconque valeur culinaire. La chaleur était une façon bien particulière de masquer le puissant degré d'alcool de cette eau de vie maison...Quand une gorgée vous embrasait la trachée, vous oubliiez quelques instants le gout atroce du jus distillé.