À quelle fréquence revivons-nous ces moments qu’après coup nous identifions comme des tournants, et sur lesquels nous bâtissons une maison dont nous parcourons les pièces en songeant : c’est ici que le bonheur a viré au malheur , ou le malheur en bonheur ? Est-ce là notre façon d’apprendre la vérité sur ce qui a fait de nous ce que nous sommes ?