En vérité, le bois dont on fait les confessionnaux est tout aussi méritant que celui des cercueils ou des pipes. Comment le choisissait-on ? Coupait-on les troncs déjà insensibles aux attaques du temps, des mousses et des animaux levant la patte ? Certainement une espèce rare dont on fait les flûtes – souple et accommodante.