Pierre Reignier

J'ai meilleurs souvenir de Robin Cook dans d'autre roman. Crises est carrément une perte de temps. On pourrait se limité à lire les 100 première et dernière pages et oublié les 400 du milieu. M. cook est un bon auteur de thriller médical, pourquoi ne s'est-il pas limté à ça, au lieu d'essayer d'imiter un Dan Brown.



L'idée première est excellente, en abordant la médecine expérimental, comme le clonage cellulaire, la guérison de maladie dégénérative et l'expérimentation secrète sur des humains. Mais quand on vient y ajouté une intrigue religieux, une traque mafieuse et un agent de sécurité psychopathe, l'intéret n'y est plus. C'est devenue à la longue une perte de temps inutile et fastidieuse de complété ce roman.



J'ai d'autre roman de Robin Cook je les lirai, mais non sans crainte!

Un Robin Cook assez décevant. Trop ambitieux peut-être puisqu'il veut mêler religion, science et politique, sans parler de la mafia et des problèmes éthiques. Il y a trop d'idées et de thèmes et ça ne marche pas : on n'y croit pas et le livre est trop dispersé. En outre le rappel de personnages de "Choc" n'est pas une bonne idée vu que ce roman était assez raté. Bref c'est riche et les ingrédients sont prometteurs mais cette fois cie la recette est manquée.

Je suis assez déçue par ce roman. Comme quoi le talent n'est pas linéaire. C'est vache, je sais. Mais j'avais adoré Chromosome 6 , Naissances sur ordonnances, Toxine, Risque Mortel et bien d'autres livres de Robin Cook. Mes propos doivent être à hauteur de mes déceptions. Avec Crises, je n'ai accroché, ni avec les personnages principaux, ni avec l'intrigue. Ce livre traîne en longueur et à la fin tout le monde meurt. Mince je vous ai raconté la fin. Mais non, je rigole ! Je voulais dire presque tout le monde meurt...Cela vous donnera peut être envie de lire le livre pour découvrir le ou la survivant(e) ;-)
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La quatrième de couverture m'a laissé pantois : comment un "ultraconservateur" déciderait-il de se faire greffer des cellules... du linceul de Turin ? J'avoue que la logique est peu compréhensible.



Bah ! Passons outre et lisons. A défaut d'être fantastique de clarté, Crises maintient un suspense tout au long de son intrigue qui s'achève sur un rebondissement totalement WTF qui vient brouiller les pistes sur le point de vue de l'auteur concernant le sujet ô combien sensible des avancées technologiques.



Ce n'est pas le polar du siècle, mais le résultat tient ses promesses. Honnête.

La fin justifie-t-elle les moyens ? C’est à cette question que nous invite à réfléchir Robin Cook dans « Crises » au travers de la proposition singulière du Sénateur Butler à un couple de chercheurs.

On peut faire confiance à Robin Cook pour ficeler comme il se doit l’intrigue médicale au service de cette histoire. Il n’y a pas d’approximation, il n’y a pas d’hésitation. Ce n’est que nécessité pour nous permettre d’entrer dans cette intrigue haletante et passionnante.



Mais aussi et surtout pour vous interroger : Et vous quel choix feriez-vous ?
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Des expériences faites par deux docteurs sur des souris qui permettraient de soigner des maladies telles que la maladie de parkinson, il n'en faut pas plus pour le sénateur Butler atteint lui même par cette maladie pour essayer d'être un des premiers à en bénéficier mais évidement pas de manière légale et le suaire de Turin ne va rien ajouter pour simplifier cette opération. Les élections approchent et la maladie avance.

Crises est le livre pour lequel j'ai mis le plus de temps à lire de toute ma vie! C'est horriblement long, ça n'avance pas, j'ai vraiment eu du mal à le lire. Et c'est dommage parce que le fond est intéressant. Je ne suis qu'une lycéenne en filière scientifique pourtant toutes ces idées sur la RSTH m'ont intéressé. Dommage que ce soit si lourd... J'aurai vraiment aimé plus de légèreté et savoir si Stéphanie au final arrive à sauver CURE. En attendant, je fais une pause avec Robin Cook. Je crois que j'attendais trop de ce bouquin, j'attendais sûrement le même type d'histoire que celle de Contagion du même auteur, en tout cas, celui là m'a déçu.

Le clonage....ou un pacte avec le diable ! ! !