Y-a-t’il un proverbe qui dit que ceux qui vivent légèrement meurent légèrement ? Azucena s’était allégée, avait rajeuni, avait bien vécu depuis quatre ans. Elle voulait vivre encore, elle avait même peur de la mort. Si elle venait frapper à sa porte, elle résisterait un peu parce qu’il y avait encore des choses qu’elle voulait faire, qu’elle avait laissées inachevées, qu’elle n’avait pas encore osées. Son jour venu, elle voulait tomber comme un fruit mûr. (p 200)