"En effet, le bourreau peut être bon, lui aussi. On a entendu dire qu'il a sauvé des malades et des malheureux, des gens dans la plus grande détresse, que tout l'art médical avait été impuissant à soulager.
- Oui. Et qu'il puisse souffrir, c'est encore vrai. Ce qu'il fait doit lui être pénible. On sait bien qu'il demande toujours pardon au condamné avant de l'exécuter.