La guerre acceptait tout le monde. A la guerre, il n'y avait ni racisme, ni fanatisme, ni intolérance, ni division, ni distinction de race, de couleur, de croyance, de confession, de nationalité, d'âge ou de genre. La guerre pouvait consommer un vietnamien de 5 ans qui n'avait rien vu de la vie aussi aisément et voracement qu'elle consumait un marine de 45 ans avec une soif insatiable de Viets morts.