La vie est différente pour moi au centre de soins palliatifs. Les couleurs, les odeurs, la manière dont la journée s'écoule. Mais je ferme les yeux, et la chaleur du radiateur devient le soleil sur mes mains, l'odeur du déjeuner, celle de l'iode dans l'air marin. J'entends les patients tousser, mais ce n'est plus que le vent dans mon jardin du bord de mer. Je peux m'imaginer toutes sortes de choses, Harold, si je décide de le faire.