Cristina Hermeziu chronique Radu Bata
Il cuisine les mots au feu follet du lyrisme impertinent et on découvre que le plat (politiquement correct) de nos vies ne se mange pas toujours froid. Dans ses poèmes d'amour Radu Bata frôle la grâce d'un Boris Vian ou d'un Charles Trenet qui traduit Rimbaud ou Verlaine en langue jazzy.
http://www.actualitte.com/critiques/radu-bata-feu-d-artifice-dans-l-angle-mort-de-la-langue-2421.htm