La vérité est que la violence résulte de conditions bien précises : la promiscuité, le surnombre, le ghetto, l’oppression, l’étouffement, la carapace caractérielle, l’ennui, la frustration. Une fois le canon bourré à mitrailles, le moindre motif boute le feu : match de football, jeu vidéo, sentiment d’injustice, peur viscérale, fantasme sécuritaire, illumination, rumeur.
Les opinions sont un prétexte, non une cause.