Les affaires se suivent, c'est une litanie, le chapelet des horreurs ne connaît pas de trêve. Et on ne peut s'empêcher de constater que les victimes d'homicide, hors contexte de bagarres, sont souvent des femmes, aux carences affectives initiales ou à la vie sentimentale cabossée, rêvant d'être enfin aimées, au point de le croire contre toute raison.