Ce qui est formidable avec le temps, c'est qu'il passe quoi qu'on fasse. Les efforts les plus démesurés n'ont aucune incidence sur l'heure qui avance. Qu'on soit en train de monter l'Everest ou de compter les mouches, les minutes s'écoulent pareil. C'est presque injuste pour les alpinistes. (p. 31)